High summer butterflies and other insects in Provence 3: Col de l’Homme Mort, Gorge d’Aulan and Plateau d’Albion – 16 & 17th July

On the third day I moved to a higher elevation, exploring the Col de l’Homme Mort, an upland route (to 1200 m) north from the village of Ferrassières and east of Mont Ventoux (1909 m), the highest peak in Haut Provence. In July as plants and grass dry up at lower altitudes, higher or more sheltered, moister locations are said to be more productive. For the rest of the trip at such higher altitude the large Graylings were supplemented by two more of their genus, Great Sooty and Black Satyr, the first of which was as plentiful. I had seen the former before in Greece but Black Satyr was the 8th trip lifer.

Le troisième jour j’ai bougé à une plus haute élévation, en explorant le Col de l’Homme Mort, une route des hautes terres (à 1200 m) le nord du village de Ferrassières et à l’est de Mont Ventoux (1909 m), le plus haut pic dans Haut Provence. En juillet quand les usines et l’herbe s’assèchent aux altitudes inférieures, plus haut ou on dit que les endroits plus abrités, plus moites sont plus productifs. Pour le reste du voyage à les plus hautes altitudes grand Agrestes a été complété par encore deux de leur genre, Grande et Petite Coronide, dont le premier était aussi abondant. J’avais vu celui-là auparavant en Grèce mais le Petite Coronide était le 8ème voyage lifer (nouveaux papillon pour moi).

black satyr.1901 col de l'homme mort

Black Satyr

These Satyrs are superficially similar in appearance though I found them easy enough to tell apart in the field on jizz. The underside patterning in Black can be variable, but the crucial difference is that it has just one unf ocellus (eye dot) while Great Sooty has two (see here). So these pictures (above and below) I believe are male Black Satyr that I regarded as the second most alluring trip Grayling after Striped on day one.

Ces Coronides sont semblables superficiellement en apparence bien que je les aie trouvés assez faciles à répéter à part dans le champ sur “jizz”. Le dessous modelant dans la Petite peut être variable, mais la différence cruciale est qu’il a juste un unf ocellus (le point d’œil) pendant que la Grande de suie a deux (voir ici). Donc ces dessins (au-dessus et ci-dessous) que je crois sont le Petite Coronide masculin que j’ai considéré comme le deuxième voyage le plus attrayant Agreste après Chevron blanc le jour un.

This butterfly’s main distribution is in the Iberian peninsula while Great Sooty’s is the Balkans and Greece. But the two ranges converge in the far south of France so this was a good opportunity to observe both Satyrs together. They fly in July and August, Black being the less common of the two. I now gained top side pictures of both male and female Great Sooty Satyr for the first time (below, top row). Mating pairs of the latter were also seen often.

La distribution principale de ce papillon est dans la Péninsule ibérique pendant que la Grande est les Balkans et la Grèce. Mais les deux gammes convergent au sud lointain de la France donc c’était une bonne occasion d’observer les deux Satyres ensemble. Ils volent en juillet et août, Petite étant les moins communs des deux. J’ai gagné maintenant des dessins de côté supérieurs tant du Grande Coronide masculin que de femelle pour la première fois (ci-dessous, la rangée du haut). Les paires s’accouplant du dernier ont été aussi souvent vues.

Great Sooty Satyr (above and below)

My first stop on 16th was another Lavender field edge site on the ascent. This was where I first began to notice the Satyrs but there were a number of other pleasing sightings. The underside picture of Meadow Fritillary in the previous post was taken here, and a Weaver’s Fritillary was also seen. The ninth trip lifer Pearly Heath made the first in a number of appearances, and Berger’s Clouded Yellow began to announce themselves. The latter two species offered better picture opportunities elsewhere and so will be featured in due course. Great Banded and Rock Grayling offered more records, while the magnificent Scarce Swallowtail and diminutive Brown Argus also provided pleasing pictures here.

Mon premier arrêt 16ème était un autre site de bord de champ de Lavender sur l’ascension. C’était où j’ai commencé d’abord à remarquer les Coronides mais il y avait un certain nombre d’autres vues agréables. La photo de dessous de Mélitée de la lancéole dans le poste précédent a été prise ici et le Petite Violette a été aussi vu. Le 9ème voyage “lifer” Céphale a fait le premier dans un certain nombre d’apparences et le Fluoré a commencé à s’annoncer. Les deux dernières espèces ont offert de meilleures occasions de dessin ailleurs et seront présentées ainsi en temps voulu. Silène et Rock Grayling a offert plus de dossiers, pendant que le magnifique Flambé et le diminutif Argus Brun ont aussi fourni des dessins agréables ici.

Continuing the ascent I stopped in two more places at the first of which I walked into the forest on one side of the road. The ubiquitous Marbled White continued to frustrate me as I still could not locate the Provence speciality Esper’s that the Greenwings group had recorded here. The regular Melanargia galathea nonetheless displayed a lot of variation in form.

La continuation de l’ascension que j’ai arrêtée dans encore deux endroits au premier desquels j’ai marché dans la forêt sur un côté de la route. Le Demi-deuil omniprésent a continué à m’énerver puisque je ne pouvais pas localiser toujours la spécialité de Provence d’Esper que le groupe de Greenwings avait enregistré ici. Melanargia galathea régulier a affiché néanmoins beaucoup de variation dans la forme.

Collins indeed lists four forms of M galathea. Many observed now were clearly the dark-toned M g procida that I also recorded in Greece last year, while M g leucomelas with creamy white unh wings was also represented. Add to that the browner unh colouring of females and there was indeed much to ponder but no Esper’s, or Iberian Marbled White that also extends into the far south-west of France though maybe not this far east.

Collins énumère effectivement quatre formes de M galathea. Beaucoup observés étaient maintenant clairement le sombrement tonifié M g procida que j’ai aussi enregistré en Grèce l’année dernière, pendant que M g leucomelas avec les ailes unh blanches crémeuses a été aussi représenté. Ajoutez-y la coloration d’unh plus marron de femelles et il y avait effectivement beaucoup pour considérer mais aucun Esper, ou le Iberian qui s’étend aussi dans le sud lointain de la France.

Two more lifers were to be found here. This was a good trip for large Graylings and now I located another, Woodland Grayling as I believe the butterflies pictured below are. That ID is based on the unh pattern that closely matches the illustration in Collins. I had seen the species once before in Greece last year but did not get a satisfactory picture on that occasion. This Grayling ranges widely across southern and central Europe, frequenting forest clearings and edges between June and September.

Encore deux “lifers” devaient être trouvés ici. C’était un bon voyage pour grand Agrestes et maintenant j’ai localisé un autre, Sylvandre comme je crois les papillons sont ci-dessous. Cette carte d’identité est basée sur le dessin unh qui correspond de près à l’illustration dans Collins. J’avais vu les espèces une fois avant en Grèce l’année dernière, mais n’ai pas reçu un dessin satisfaisant dans cette occasion. Ce Agreste varie largement à travers l’Europe centrale et du sud, en fréquentant des clairières de forêt et des bords entre le juin et le septembre.

At the next stop I came across Pearly Heath (pictured below) for the second time. This very widespread European Heath was a butterfly I especially wanted to record on this trip, being common but unseen by myself before now. Like other Heaths it flies in a range of grassy, bushy places and forest clearings, and has a prolonged emergence between May and August.

Lors de l’arrêt suivant j’ai trouvé Céphale (représenté ci-dessous) pour la deuxieme fois. Cette Fadet européenne très répandue était un papillon que j’ai voulu surtout enregistrer sur ce voyage, en étant répandu, mais étant invisible moi-même jusqu’ici. Comme d’autres Fadets il vole dans une gamme d’endroits herbeux, broussailleux et de clairières de forêt et a une apparition prolongée entre le mai et l’août.

The lead picture in the above sequence is one of my favourites from this trip. I always think of Small Heath at home as an easily overlooked though always charming little butterfly, and these new (for me) and more elaborately patterned species are more appealing still. The collage presents all three Heaths from this trip for comparison.

Le premier dessin dans le susdit ordre est un de mes préférés de ce voyage. Je pense toujours à Fadet Commun en Angleterre comme facilement donné bien qu’en charmant toujours peu de papillon et ceux-ci nouveaux (pour moi) et les espèces plus minutieusement modelées sont plus charmants toujours. Le collage présente toutes les trois Fadets de ce voyage pour la comparaison.

This slideshow requires JavaScript.

On the descent I made a fourth stop in a more open location and this produced two more interesting sightings. One was the always alluring Ripart’s Anomalous Blue (below right), so now I have experienced that enigma four times in three different countries: Greece, Turkey last month and now France. Outside of Greece, the southern Balkans and regions to the east this butterfly occurs very locally in certain areas of Poland and Spain, and this part of France. So it was another Provence speciality that I was pleased to find again here. The trip’s only Dark Green Fritillary (below left) was also noted in this grassy landscape.

Sur la descente j’ai fait un quatrième arrêt dans un endroit plus ouvert et cela a produit deux vues plus intéressantes. Un était le Sablé provençal toujours attrayant (au-dessous du droit), c’est pourquoi maintenant j’ai connu cette énigme quatre fois dans trois différents pays : la Grèce, la Turquie le mois dernier et maintenant la France. À l’extérieur de la Grèce, les Balkans du sud et les régions à l’est ce papillon se produit très localement dans de certaines régions de la Pologne et l’Espagne et cette partie de la France. Donc c’était une autre spécialité de Provence que j’étais content de trouver de nouveau ici. Seul Grand Nacré du voyage (au-dessous du gauche) a été aussi noté dans ce paysage herbeux.

I now drove on towards Montagne de Bergiés, to the north of the Col, but missed the road to the summit. That was a pity because the Greenwings report described good numbers of Apollo and Esper’s Marbled White on Thistles there, as well as Damon Blue; all three of which would have been lifers for me. Instead I drove a circuit via Séderon and the villages of Villefranche-le-Château, Aulan and the very characterful Montbrun-les-Bains, stopping in various places. Not all of the pictures in the sequence (below) are of my required standard but they illustrate these places for future reference.

J’ai conduit maintenant sur vers Montagne de Bergiés, au nord du Col au-dessus de la ville de Séderon, mais ai manqué la route au sommet. C’était une pitié parce que le rapport de Greenwings a décrit de bons nombres d’Apollon et Echiquier d’Esper sur les Chardons là, aussi bien que Sablé du sainfoin; dont tous les trois auraient été “lifers” pour moi. Plutôt j’ai conduit un circuit via Séderon et les villages de Villefranche-le-Château, Aulan et très characterful Montbrun-les-Bains, en m’arrêtant dans les endroits différents.

This slideshow requires JavaScript.

I was now finding Grayling of the “regular” species Hipparchia semele that occurs in Great Britain, some of which were larger than average and beautifully fresh. The left hand image (below) is the first I have ever captured of this butterfly with both fore-wing ocelli (black eye spots) raised above the hind-wing. I have spent a lot of time in the field on English heaths waiting for H semele to assume this pose, so a minor ambition had thus been realised.

Je trouvais maintenant Agreste des espèces régulières Hipparchia semele qui se produit en Grande-Bretagne, dont certains étaient plus grands que la moyenne et admirablement frais. L’image de main gauche est la première (ci-dessous) je capturais jamais de ce papillon avec les deux aile antérieure ocelli (les taches d’œil poché) levé au-dessus de l’aile de derrière. J’ai passé beaucoup de temps dans le champ sur les landes anglaises attendant H semele pour supposer cette pose, donc une ambition mineure avait été ainsi rendue compte.

The southward part of this circuit took me through the “route extraordinaire” of Gorges d’Aulan and in the gorge itself I took some dragonfly time-out. I especially wished to re-experience the sombre-toned Western Spectre on this trip for which I do not have satisfactory pictures. There were several of what is a rather ghostly dragonfly at this site but they were all patrolling low over the running water without ever settling. A Common Goldenring was similarly intent on its own tour of duty, but the real poseurs here were Small Pincertail (pictured below).

La partie dirigée au sud de ce circuit m’a pris par la route extraordinaire du Gorges d’Aulan et dans la gorge lui-même j’ai pris un dépassement du temps imparti de libellule. J’ai voulu surtout reconnaître le Western Spectre sombrement tonifié sur ce voyage pour lequel je n’ai pas des dessins satisfaisants. Il y avait plusieurs de ce qui est une libellule assez spectrale sur ce site mais ils tous patrouillaient bas sur l’eau courante sans jamais tassement. Un Common Goldenring était résolu de la même façon sur son propre circuit, mais les frimeurs réels étaient ici Small Pincertail (représenté ci-dessous).

After the female in les Alpilles on day one I now recorded several males that as the day cooled a little in late afternoon would suddenly appear on rocks beside me as I walked along the stream bed. This is the commonest of the European Pincertails, occurring through much of the continent though more locally in the north. It has a long flight season from May to September. The lead picture in the above collage is a classic pose with the abdomen raised. Meanwhile a Zygaena carniolica moth (below left) looked very attractive and tranquil floating in shallow water, though I suspect it might have been half if not completely drowned.

Après la femelle dans les Alpilles le jour un j’ai enregistré maintenant plusieurs mâles que puisque le jour refroidit un peu tard dans l’après-midi apparaîtrait subitement sur les roches à côté de moi quand je me suis promené le long du lit de ruisseau. C’est le plus fréquent de Pincertails européen, se produisant par une grande partie du continent bien que plus localement au nord. Il a une longue saison de vol de mai à septembre. Le premier dessin  dans le susdit collage est une pose classique avec l’abdomen levé. Pendant ce temps une mite de Zygaena carniolica (au-dessous du gauche) a regardé la mise à flot très attrayante et tranquille dans l’eau peu profonde, bien que je pense que cela pourrait avoir été la moitié sinon complètement noyé.

On day four (17th) in the morning I visited le Plateau d’Albion that lies south of the sites described above and due west of my base of Ongles via the scenic Simian-la-Rotunde (above right). This was another location where the Greenwings tour recorded Esper’s Marbled White, but after failing to find it again I concluded this must be a scarce, localised species for which Lafranchis would have known sites to which he took his group. Now I tried to resist the temptation to take more pictures of the ever frequent Melanargia galathea.

Le jour quatre (17ème) le matin j’ai visité le Plateau d’Albion qui ment au sud des sites décrits au-dessus et l’ouest dû de ma base d’Ongles via Simian-la-Rotunde scénique (au-dessus du droit). C’était un autre endroit où le tour de Greenwings a enregistré Echiquier d’Esper, mais après avoir manqué de le trouver de nouveau j’ai conclu que cela doit être une espèce rare, localisée pour laquelle Lafranchis aurait su des sites auxquels il a pris son groupe. Maintenant j’ai essayé de m’opposer à la tentation de prendre plus de photos de Melanargia galathea jamais fréquent.

idas blue.1901 plateau d'albion

Idas Blue (female)

There were two main items of interest in the grassy habitat here. I have identified the above butterfly as Idas Blue, based on the rather striking under-wing marginal pattern. That is bolder than in the similar Reverdin’s Blue which I recorded for the first time in Turkey last month. Idas, which I had also only seen once before, is a very widespread European Blue for which Collins lists six forms across an extensive geographical range. Now I was very pleased to obtain my first under-wing studies.

Il y avait deux articles principaux d’intérêt pour l’habitat herbeux ici. J’ai identifié le susdit papillon comme Azuré du genêt, basé sur le dessin marginal sous l’aile assez frappant. C’est plus audacieux que dans le Azuré des coronilles semblable que j’ai enregistré pour la première fois en Turquie le mois dernier. Idas, que j’avais vu aussi seulement une fois avant, est une Azuré européen très répandu pour lequel Collins énumère six formes à travers une gamme géographique étendue. Maintenant j’étais très content d’obtenir les études sous l’aile.

Up until now I had noticed that Clouded Yellow for this trip had almost always been the brighter Berger’s Clouded Yellow (pictured above) with rich brown wing margins on the top side. Here there were several of them, while the regular CY present were all of the pale Helice form. It was noticeable this week how three of the multi-brooded butterflies that I encounter in southern Europe at any time of year – Clouded Yellow, Wall Brown and Gorganus Swallowtail – were each largely absent; possibly being between broods or simply less frequent at altitude.

Jusqu’ici j’avais remarqué que le Souci pour ce voyage était presque toujours le Fluoré plus lumineux (représenté au-dessus) avec les marges d’aile marron riches sur le côté supérieur. Ici il y avait plusieurs d’entre eux, pendant que le présent de Souci était toute forme de Helice pâle. Il était visible cette semaine comment trois des papillons multibroyés du noir que je rencontre dans l’Europe du sud à tout moment de l’année – Souci, Mégère et Machaon – étaient chacun en grande partie absent ; étant peut-être entre les couvées ou simplement moins fréquent à l’altitude.

In the afternoon I returned to the top of le Col de l’Homme Mort to do justice to a track that led eastward from my third stop of a day earlier (pictured above). The Greenwings report mentioned a forest clearing at 1200 m and a grassy track that kept the group busy all morning, and I reasoned this might be that place. Whether it is or not the location produced a series of very good quality records. The morning had been the least eventful of the trip but now my sense of motivation was fully restored.

L’après-midi j’ai rendu au haut du Col de l’Homme Mort explorer une piste qui a mené vers l’est de mon troisième arrêt d’un jour plus tôt (représenté au-dessus). Le rapport de Greenwings a mentionné une forêt s’éclaircissant à 1200 m et une piste herbeuse qui a occupé le groupe toute la matinée et j’ai soutenu que cela pourrait être cet endroit. S’il est ou pas l’endroit a produit une série de dossiers de très bonne qualité. Le matin avait été le moins plein d’incidents du voyage mais maintenant mon sens de motivation a été restitué.

I had come across Hairstreaks a number of times already on this trip but they had all been so worn as to be difficult to identify. Here, Blue-spot Hairstreak in much better condition (above left) and also Ilex Hairstreak (right) were both readily recognisable. It was my second Blue-spot record this year after one in Turkey in June. The below left picture is an exact match for the illustration in Collins of second brood female Eastern Wood White, and one of my favourite images of this trip.

J’avais trouvé Thécle par hasard maintes fois déjà sur ce voyage mais ils avaient été tous portés de manière à être difficiles à s’identifier. Ici, la Thécla des Nerpruns dans la beaucoup meilleure condition (au-dessus du gauche) et aussi Thécla de l’Yeuse (le droit) était reconnaissable tous les deux sans hésiter. C’était mon deuxième record de Nerpruns cette année après un en Turquie en juin. L’au-dessous du dessin gauche est un match exact pour l’illustration dans Collins de deuxième femelle de couvée Piéride du sainfoin, et une de mes images préférées de ce voyage.

Next I self-found for the second time in my butterfly travels yet another Grayling, The Hermit (above right) nestling in shade to one side of the track. This widespread though uncommon species flies from May through to September in the Iberian peninsula, parts of southern France and Italy, much of south-eastern Europe then through the Anatolian region and as far east as China. My own previous record was in southern Greece last July.

Ensuite j’ai trouvé de soi pour la deuxième fois dans mes voyages de papillon encore un Agreste, l’Hermite (au-dessus du droit) me blottissant dans l’ombre à un côté de la piste. Cela répandu bien que l’espèce rare vole du mai par jusqu’au septembre dans la Péninsule ibérique, les parties de la France du sud et l’Italie, la plupart de l’Europe au sud-est alors par la région anatolienne et aussi de l’Extrême-Orient que la Chine. Mon propre record précédent était dans la Grèce du sud en juillet dernier.

By now I was feeling quite excited about the potential this sunlit woodland track might hold, then my heart leapt on reaching a rising area of clearfell that was brimful of flowering wild plants (above left). But the open aspect in hot sun was a double edged sword as all the teeming butterflies in this place were totally hyperactive. The flower-rich habitat lasted for only around 80 metres before the slope assumed more of a regenerating character (above right).

À ce moment-là je me sentais tout à fait excité du potentiel que cette piste des bois ensoleillée pourrait tenir, alors mon cœur a sauté lors de l’atteinte d’une région montant de “clearfell” qui était débordant de la fleuraison des usines sauvages (au-dessus du gauche). Mais l’aspect ouvert dans le soleil chaud a fait les papillons regorgeant dans cet endroit être complètement hyperactifs. L’habitat riche en la fleur a duré pour seulement environ 80 mètres avant que la pente a supposé plus d’un caractère régénérant (au-dessus du droit).

Pearly Heath (above) was again active along the track out to this point and proved to be just as photogenic as a day earlier. In the clearfell I also took more pictures of Small Heath (right), and Silver-washed Fritillary were also prominent there. Another regular Grayling exhibited the previously noted local trait of raising both black eye spots above the hind wing upon settling, which I was again pleased to record (below left). And the subtle tones of Meleager’s Blue (right) were on show again in this superb place.

Céphale (au dessous) était actif de nouveau le long de la piste à ce point et s’est avéré être aussi photogénique qu’un jour plus tôt. Dans le “clearfell” j’ai aussi pris plus de photos de Fadet Commun (le droit) et Tabac d’Espagne étaient aussi proéminents là. Un autre Agreste régulier a exposé le trait local auparavant noté de levée des deux taches d’œil poché au-dessus de l’aile de derrière après le tassement, que j’étais content de nouveau d’enregistrer (au-dessous du gauche). Et les tons subtils du Azuré de l’orobe (le droit) étaient sur le spectacle de nouveau dans cet endroit superbe.

At a suitable turning point I consulted Google maps on my phone and found I was in an extensive network of tracks that I thought must repay further inspection given the diversity I had encountered on this afternoon. The pattern of this trip had been huge numbers of certain species such as Marbled White and large Graylings, with smaller numbers of other butterflies mixed in and the best sightings in just ones or twos. Perhaps that is typical of anywhere. But given the quality of some of this site’s records I at once felt tempted to return and spend longer here to see what else might be found. That would also allow the little matter of visiting the top of Mt Bergiés to be resolved.

À un tournant convenable j’ai consulté des cartes de Google sur mon téléphone et ai constaté que j’étais dans un réseau étendu de pistes que je croyais doit rembourser l’inspection de plus, étant donné la diversité que j’avais rencontrée cet après-midi. Le dessin de ce voyage avait été des nombres énormes de certaines espèces tels que Demi-deuil et Agrestes grands, avec de plus petits nombres d’autres papillons mélangés dans et les meilleures vues dans les juste ou les deux. Peut-être c’est typique de n’importe où. Mais, étant donné la qualité de certains des dossiers de ce site je me suis senti tenté immédiatement de rendre et passer plus long ici pour voir ce qui pourrait être trouvé. Cela permettrait aussi la petite affaire de visiter le haut de Mt Bergiés à être résolu.

large blue.1901_01 col de l'homme mort

Large Blue

Today there was still to be another notable encounter as I walked back up the track to my car. For the past few years it has been a minor ambition to observe Large Blue somewhere other than at the English tourist traps of Collard Hill and Daneway Banks that I refuse to go to. But more sites where this great British rarity has been re-introduced are kept secret. Now I came across one along this forest track on a mountain side in Haute Provence and that was very satisfying. The species does of course range across much of continental Europe, at altitudes up to 1800 m but is rarely seen in large numbers. What an end to my day this was!

Aujourd’hui il devait y avoir toujours une autre rencontre remarquable quand j’ai marché appuient la piste à ma voiture. Pour ces dernières années cela a été une ambition mineure d’observer Azuré du serpolet quelque part autre qu’aux pièges touristiques anglais de Collard Hill et à Daneway Banks à qui je refuse d’aller. Mais plus de sites où cette grande rareté britannique a été réintroduite sont gardés secrets. Maintenant j’ai trouvé par hasard un le long de cette piste de forêt sur un côté de montagne dans Haute Provence et c’était satisfaisant très. L’espèce varie vraiment évidemment à travers la plupart de l’Europe continentale, aux altitudes jusqu’à 1800 m, mais est rarement vue dans de grands nombres. Quelle fin de mon jour c’était!


download

This report has been produced using the free online translator PROMT (see here)

Ce rapport a été produit en utilisant en ligne gratuitement le traducteur PROMT (voir ici)

Species names in French are taken from http://www.leps.it (see here)

Leave a comment